Maxime Droxler figurait sur les listes d’anarchistes des Ardennes avant de venir s’établir au début des années 1920 dans le Lot-et-Garonne à Puch (1923) Colayrac Saint-Cirq (1929). En novembre 1923 la police avait signalé son départ de Puch et son retour à Wadelincourt où il allait travailler pour une entreprise de peinture de Sedan. Puis, toujours selon la police, il aurait disparu fin mars 1924 de Wadelincourt “après avoir battu sa femme” et avait été recherché en vain à Reims. Le 10 mars 1928, il avait été condamné à Paris à 1 mois de prison pour “recel”.

Maxime Droxler figurait en 1935 sur la liste des anarchistes du Lot-et-Garonne où il était sans doute membre du Groupe d’études sociales d’Agen. La police notait toutefois que son séjour dans le département ne donnait lieu à aucune remarque particulière.