Gabriel Bonvalot travaillait en 1918 comme ouvrier fraiseur à l’usine Mayen à Clichy et était adhérent de l’Union des mécaniciens. Franc-maçon il fut membre de la loge Clarté du Grand Orient de France et de la loge Concordia du Droit Humain. En 1923 il participait à l’emprunt pour Le Libertaire quotidien.
En 1925 il était le secrétaire adjoint du Groupe d’études sociales et syndicalistes d’Asnières dont faisaient notamment partie A. Pelcot, Edouard Robert, Edouard Blanchard, Maurice Laisant et Chauvin. Il collaborait à cette époque à L’Insurgé (Paris, 1925-1926) d’André Colomer.
Après la Seconde guerre mondiale il continua d’être l’animateur du Groupe d’études sociales d’Asnières qui se réunissait au domicile des frères Laisant.