Comme son frère Alfredo, Jorge Errandonea était membre à la fin des années 1950 des Jeunesses libertaires puis de la Fédération anarchiste Uruguayenne (FAU). Puis il adhéra à l’Alliance libertaire uruguayenne (ALU) qui s’était formée en réaction au soutien apporté à la révolution castriste par la FAU.
Après la prise du pouvoir par les militaires, il parvint à s’exiler en France où vers 1974 il participait à Paris au Comité de soutien à la résistance uruguayenne.