Gustave Duprez, que la police qualifiait de “souteneur” et qui avait été condamné à trois reprises, avait été arrêté en février 1894 avec entre autres Robinet, Massey et Boulanger. Il avait quitté Saint-Quentin au printemps 1894 « pour une destination inconnue », était l’objet d’un avis de recherches de la sous-préfecture de Sainte-Menehould en mai 1894.
En 1896 il demeurait route de la Neuville à Saint-Quentin et était toujours signalé.