C’est à l’âge de 17 ans que, lors du coup d’État franquiste de juillet 1936, José Antolin s’êtait enrôlé comme milicien dans la Colonne Ortiz-Ferrer en route pour Alcañz, Montalban et Utrillas. Il avait notamment participé à la libération des villages de Muniesa et de Fuendetodos.
Passé en France en février 1939 lors de la Retirada, il s’installa ultérieurement à Perols (Hérault) où il travailla comme peintre en bâtiment et épousa Josefa Sebastia dont il eut deux enfants. Militant de la FL de la CNT, il fut à partir de mai 1991 le président de la section de Montpellier de la Solidarité internationale antifasciste (SIA).
José Antolin est décédé à Montpellier le 15 décembre 2005.