Militant aragonais, José Cercos Redón était le fils de Pablo Cercos et de Pascuala Redón. Exilé à Perpignan il résidait 33 rue Dagobert et militait dans les années 1970 aux Agrupaciónes Confederales, la tendance qui publiait le journal Frente Libertario.
José Cercos Redón est mort à l’Hôpital Joffre de Perpignan le 11 mars 1988.