José Castillo López avait adhéré encore très jeune à la CNT de Cordoba. Pendant la guerre civile il avait combattu sur divers fronts jusqu’à la Retirada où après son passage en France il avait été interné dans divers camps. Lors de la déclaration de guerre il avait été enrôlé dans une Compagnie de Travailleurs étrangers. Pendant la guerre il était en zone occupée.
A la libération il s’installait dans la région Rhône-Alpes où il allait être très lié au compagnon Francisco Reif Rodriguez, vieux militant andalou de Cordoba, condamné à mort sous le franquisme qui, en 1947 était parvenu à s’évader et à passer en France où il allait être longtemps le secrétaire de la FL-CNT de Péage de Roussillon.
José Castillo López est mort à Chapareillan le 11 janvier 1996.