Au printemps 1894 Théophile Couillard dit Gambetta, fils de Louis-Philippe et de feue Jeanne Beausson, résidait à Cherbourg, 10 rue du Faubourg et aurait été, semble-t-il, un lecteur du Père Peinard. Puis en août il était parti pour Epernon (Eure-et-Loir) afin d’y travailler. A l’automne il travaillait dans les carrières d’Emoncé (Seine-et-Oise). En 1895 il aurait abandonné sa femme et ses trois enfants « dans la misère » à Sainte-Honorine-la-Chardonne (Orne).
Il figurait à l’état vert n°2 et n°3 des anarchistes disparus et/ou nomades et continuait en 1898 à circuler dans diverses régions et à y travailler dans ls carrières locales.
Vers 1899 il s’était fixé au Havre dont en mars 1901 il avait été signalé comme disparu.
COUILLARD, Théophile, Auguste « GAMBETTA »
Né le 10 novembre 1863 à Saint-Marc-Le-Blanc (Ille-et-Vilaine) — Tailleur de pierres — France