C’est encore adolescente qu’à la fin de la guerre d’Espagne Eloisa Alarcon Caltan était parvenue à émigrer pur l’Amérique du sud, d’abord au Chili puis en Argentine où elle allait s’installer à Buenos Aires au début de années 1940. Elle y milita à la Fédération anarchiste communiste argentine (FACA) puis à la Fédération libertaire argentine (FLA). Elle était également une active membre de la bibliothèque José Ingenieros et maintint une solide amitié avec le poète cubain Nicoas Guillen.
Au début des années 2000 elle résidait au quartier du Congreso et, bien qu’à un âge avancé, participait à des groupes d’études libertaires et à des collectifs de quartier.