En juillet 1921 Felice Amerio avait été condamné à 2 ans et 6 mois de prison pour « détention d’explosifs ». Il fut libéré de la prison de Padoue le 12 décembre 1923. En 1928 il était inscrit sur un fichier de personnes à arrêter en certaines circonstances.
Vers 1931 il s’expatriait en France (à Grenoble ?). A l’automne 1935 il résidait à Sartrouville. Il était également signalé comme participant — avec notamment Berneri — à un congrès d’anarchistes italiens.
En 1936, suite au coup d’État franquiste, il partait comme volontaire en Espagne. Après un passage à la caserne Spartacus de Barcelone, il était intégré à la section italienne de la Colonne Ascaso.
Revenu en France après les affrontements de mai 1937 avec les staliniens, on.perd sa trace en 1938.
Felice Amerio serait mort à Grenoble (Isère) au début des années 1990
En décembre 2017 a été inauguré à Asti le Centre de documentation libertaire Felix.