Tout jeune à Lyon, Louis Droccos, qui était déjà un fervent anticlérical, avait monté plusieurs chorales laïques.
Louis Alexandre Droccos fut l’un des animateurs de La Muse rouge. Il mit en musique de nombreuses chansons sociales avant et après la Première guerre mondiale, notamment La paysanne de Gaston Couté, La Guillotine de Léon Israël, La Chanson de la semaine anaglaise de Maurice Doublier et L’oiseau chantait la vie de Madeleine Vernet.
Voir également Fédération internationale des centres libertaires. et le Catalogue de la BNF.
En 1914 une demoiselle Mathilde Droccos (sa fille ??), du Carillon, se produisait parfois dans les soirées familiales du groupe anarchiste du XVe arrondissement (APpo BA 1506)
Louis Alexandre Droccos qui était aveugle et avait contribué à l’animation de de nombreuses soirées et galas libertaires, est décédé en mars 1926.