Philippe Deymié, qui avait été exclu du Cercle d’études sociales en raison de ses idées anarchistes, était au début des années 1890 l’un des correspondants locaux et diffuseurs du Père Peinard et de La Révolte. Il avait été soupçonné en 1892 d’avoir tenté, avec un certain L. Blanc, de dynamiter la maison d’un ingénieur de son entreprise. Selon la police il faisait partie en 1893 du Comité central révolutionnaire et s’occupait de l’organisation d’un groupe anarchiste à Carmaux.
DEYMIE, Philippe, Albert
Né le 12 décembre 1866 à Montpellier — Ouvrier carrossier — Carmaux (Tarn)