Demeurant 2 rue des Bénédictines, François Decoster avait été fiché à Nîmes au début des années 1890. Selon la police il était « d’un caractère assez violent lorsqu’il avait bu » et avait subi, entre 1862 et 1893, 10 condamnations (de 16 francs d’amende à 6 mois de prison) pour « rébellion, voies de fait, vols et infraction à la police des chemins de fer » essentiellement à Besançon dans les années 1860. Il n’était toutefois pas considéré comme pouvant paraitre dangereux.
DECOSTER, François, Louis, Alfred
Né vers 1844 — Ouvrier charpentier — Nîmes (Gard)