Mineur dans le Gard et résidant dans une commune proche de Bessèges, le compagnon Combaco était décédé début 1890 des suites d’un accident de mine. Le maire socialiste, sous l’instigation du curé, avait refusé le brancard de la commune et ce sont les compagnons qui avaient dû le porter à bras jusqu’au cimetière où deux prises de paroles avaient été faites dont l’une rappela qui il était et ses doctrines anarchistes.
COMBACO
Mort début 1890 — Mineur — Bessèges (Gard)