Carrouée (orthographié parfois Carouet) collabora en 1924 à l’organe libertaire d’Afrique du Nord Le Flambeau (Alger, ai moins 32 numéros de janvier 1923 à août 1925, puis 7 numéros de mai à octobre 1926) dont les principaux animateurs étaient Neyssel, Ribot, Sanchis et Ribes. Entre avril et mai 1924 il écirivit trois articles pour appeler les « camarades métallurgistes » à rejoindre le syndicat pour ne plus être « Les chiens couchants, rampants du capital, du patron ». Dans un troisième et dernier article il défendait Germaine Berton qui venait d’ être arrêtée pour la seconde fois lors d’une conférence à Bordeaux. En juillet 1924 il quitta l’Algérie pour la France. Avec Mohamed Saïl, il animait, notzamment dans le XVIIe arrondisseme, nt, ders réunions de travailleurs algériens.
A l’issue du congrès tenu par l’Union anarchiste (UA) les 1-3 novembre 1924 à la Maison des syndicats de l’avenue Mathurin Moreau, il avait été nommé au nouveau Comité d’initiative aux cotés de Le Brassseur (secrétaire), Gady, Dulud, Le Meillour, Guillot, Sarnin, Kiouane, Petroli, Mulades et Morinière. Il y représentait l’Afrique du Nord avec Slimane Kiouane.
Dans le journal Le Semeur contre tous les tyrans (Falaise) de juillet 1927, il écrivit un réquisitoire contre les « 70 ans d’expérience » de la France en Algérie.