Marcel Caron demeurait au début des années 1900 à Levallois, 35 rue Chaptal. En juillet 1902 il avait été l’un des signataires d’un texte protestant contre l’enterrement religieux de la camarade Jeanne Rousset (voir ce nom) publié dans Les Temps nouveaux.
Dans les années 1910 il demeurait toujours rue Chaptal et était alors membre du groupe anarchiste de Clichy-Levallois. Mobilisé au 22e Régiment d’infanterie lors de la déclaration de guerre, il a été porté disparu le 25 août 1914.