Tenancier d’un débit de boissons à Besseges, Louis Chabrolin, qui aurait été l’un des gérants du journal L’Agitateur, avait été arrêté à Marseille fin avril 1892, préventivement à la manifestation du 1er mai, avec notamment Salel, Marie Saut, Joseph Dumas, etc. avant d’être remis en liberté au début du mois de mai. Il allait ensuite en Algérie où à Bône il allait travailler comme ouvrier boulanger, mécanicien et menuisier. Fin 1893, à Bône, bien que considéré comme peu dangereux, il fut l’objet d’une perquisition à son domicile 4 rue du Croissant