Lorenzo Deza de La Hoz avait déserté de l’armée vers 1913 et était passé clandestinement en France. Entre les deux guerres mondiales, il passa à plusieurs reprises clandestinement en Espagne pour y participer à des actions du mouvement libertaire. Après la Seconde guerre mondiale il s’installa à Saint-Pierre sur Dropt (Lot-et-Garonne) où il continua de militer à la CNT en exil jusqu’à son décès le 3 juillet 1978.
Sa compagne Clara, avec laquelle il avait trois enfants (Libertad, Armonía et Ruperto), était décédée en 1949 en France.