Hermadio Arguelles avait adhéré très jeune à la CNT des diverses mines asturiennes où il avait travaillé. En octobre 1934 il participa au mouvement révolutionnaire.
Exilé en France après la guerre, il s’installa à Verdun sur Garonne, village limitrophe de Montauban et milita à la FL- CNT de Montauban. Sans doute silicosé, il vivait d’une petite pension d’invalidité. A la fin des années 1960 il était parti s’établir chez une de ses sœurs à Toulouse où il devait décéder le 15 avril 1968.