Exilé à Cuba, Felipe Andres Cabezas collaborait dans les années 1950, depuis La Havane au journal España Libre, organe de la CNT de tendance dite modérée.
ANDRES CABEZAS, Felipe
CNT — & La Havane
Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.
ANDRES CABEZAS, Felipe
Exilé à Cuba, Felipe Andres Cabezas collaborait dans les années 1950, depuis La Havane au journal España Libre, organe de la CNT de tendance dite modérée.