Durant la Commune, Auguste Diancourt fut membre du Comité de vigilance de la rue des Rosiers, IVe arr. Capitaine à la XVIIe légion et commissaire de police au chemin de fer du Nord, il fut condamné par défaut, le 5 juillet 1872, à deux ans de prison pour usurpation de fonctions, puis, le 3 mai 1873, le 4e conseil de guerre le condamna à la peine de mort, (il est dit aussi : à la déportation), également par défaut.
Réfugié à Genève, il appartint à La « Marmite sociale » et fit partie « de la section de propagande et d’action révolutionnaire socialiste » appelée simplement « section de propagande » en 1873 (cf. Bulletin de la Fédération jurassienne, n° 31, 9 novembre 1873). Il était donc membre de l’Internationale bakouninienne.
Diancourt était établi bijoutier à Buenos-Aires en 1877.