Au début des années 1900 Eugénie Collignon était membre du groupe anarchiste qui se réunissait rue Duméril et participait parois aux sorties champêtres. En juin 1907 la police signalait sa présence à une réunion du groupe des IIIet IVe arr. Sa mère était également anarchiste.
Elle avait été la compagne de Boucherat, mais à la fin de l’été 1906, la police signalait qu’elle avait un nouveau compagnon, un grand bourgeois qui payait son loyer et l’aidait à subvenir aux besoins de sa mère. Toutefois elle conservait des contacts avec des compagnons puique la police signalait qu’elle avait rçu de Henri Josse emprisonné à la Santé, une lettre confiée par un visiteur et ayant échappé à l’administration pénitentiaire.
COLLIGNON, Eugénie
Paris