Alors qu’il allait se marier, Mario Betemps avait appris qu’il souffrait d’une maladie congénitale qui l l’empêcherait d’avoir des « enfants sains ». Il s’était alors suicidé après avoir revendiqué dans une lettre ses convictions anarchistes et révolutionnaires et avoir légué ses économies au profit de la propafgande. Le compagnon Alberto Ghiraldo, directeur du journal Martin Fierro, avait alors fait parvenir la somme de 109, 75 francs au journal Les temps Nouveaux de Jean Grave.
BETEMPS, Mario, A.
Se suicide en 1903 ou 1904 — Ouvrier — Argentine