Exilé à Marseille, Simeon Budria y militait à la FL-CNT et n’eut de cesse depuis 1945 de combattre la tendance dite collaborationniste et scissionniste de la CNT. Une fois il en vint même aux mains à Lavelanet avec Gines Alonso membre du sous-comité national de cette tendance. Puis il cessa de participer aux réunions et de cotiser tout en restant fidèle à ses idéaux. Simeon Budria est décédé à Marseille en 1990.
BUDRIA, Simeon
Né à Quinto (Saragosse) vers 1917 — mort en 1990 — MLE — CNT — Saragosse (Aragon) — Marseille (Bouches-du-Rhône)